Les nouvelles formes d’emploi sont devenues un sujet incontournable dans les débats publics actuels, circonstance oblige. C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé Guillaume Cairou en tant que PDG de la société de portage salarial Didaxis et Président de la Fédération des Entreprises de Portage Salarial (FEPS).

​ »Il s’agit donc pour les professionnels de l’emploi de faire un effort de pédagogie afin de promouvoir ces nouveaux modes de travail qui restent encore méconnues  » ajoute Guillaume Cairou.

Le besoin d’indépendance, reconnu par plus d’un Français sur deux, doit être entendu par les organisations concernées. Des solutions adaptées doivent émerger notamment en termes de protection sociale et d’accompagnement.

« Un effort de prospection dans lequel la Fédération des Entreprises de Portage Salarial (FEPS) s’est engagée et qui transparaît également dans le Manifeste pour l’emploi proposé par Prism’emploi, l’organisme patronal du travail temporaire présidé par Gille Lafon », souligne le président de la FEPS.

Guillaume Cairou invite à un dialogue constructif avec toutes les parties prenantes. l’effort pourrait notamment se porter sur les enjeux de formation.

A la clef, lutter contre le chômage et trouver des portes de sortie à la crise. En effet, « les nouvelles formes d’activité sont des gisements de croissance : 1,3 millions d’emplois pourraient être créés d’ici 2025 », précise Guillaume Cairou à rebours des détracteurs qui voient dans ces nouvelles formes d’emploi, une précarisation du marché du travail. Or, cette tendance préfigure plutôt ce que sera le travail de demain.

« Ne tardons pas à faire converger des outils comme l’intérim, le portage salarial et les autres formes de non standard employment« , conclut alors le président de la FEPS.

Retrouvez l’intégralité de la tribune de Guillaume Cairou pour Economie Matin : ICI

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